Re: petit textes,poémes,citations,défouler-vous poster içi !!!!!!!!

par **christophe.c** Jeu 20 Nov - 12:18:34

:merci:

par **kailee31** Jeu 20 Nov - 13:14:48

c'est pas pour toi chris que je dit ça ! ;)

par **iguana** Jeu 20 Nov - 13:16:21

La priére du chat.

A toi mon maître,
Autour de ta maison,
Je marquerai mon territoire,
Souvent je m'en éloignerai,
Mias toujours ver toi ,
Je revienderai,
Même si tu compares ma fourrure,
A cette d'une peluche,
Ne m considére pas comme un ouet,
Laisse-moi la liberté,
Mais son ton toi réserve-moi,
Un coin douillet
J'y reviendrai avec joie
Je te donnerai mon affection,
Que tu deviendera,
Par mon doux ronron,
N'oublie pas,
Que j'ai besoin de carresse,
Donne-moi ton amour,
Je serai pas te velours.

par **kailee31** Jeu 20 Nov - 13:20:54

très beau ! mais dommage que ce soit en tout petit ! ;)

par **iguana** Jeu 20 Nov - 13:41:48

merci beaucoup ..;

par **gaelle68** Jeu 20 Nov - 14:10:16

par **christophe.c** Jeu 20 Nov - 14:47:05

super iguana

,mais comme le dit kaille essai d'agrandir le texte que tu postes
magniere que se soit plus agreable a lire ;)

par **christophe.c** Jeu 20 Nov - 14:48:33

kailee31 a écrit:c'est pas pour toi chris que je dit ça ! ;)

j'avais compris :yeah:

par **L'antre des reptiles** Jeu 20 Nov - 18:53:53

Super ! :)

par **Admin** Jeu 20 Nov - 21:23:50

super ton texte iguana j'ai supprimer les code pour que la taille soit normal ;)

par **iguana** Jeu 20 Nov - 22:08:03

ok merci

par **iguana** Jeu 20 Nov - 22:09:28

Toi! Etre si cruelle!
Crois-tu vraiment que cette fourrure te rendra plus belle?
C'est la souffrance d'un animal que tu portes sur le dos,
Des heures d'agonie pour que tu puisses porter ce manteau.
En portant cette fourrure
Tu votes "OUI" pour toutes les tortures qu'ils endurent.
Mets-toi dans la peau de cet animal quelques instants,
Imagines-le encore vivant, baignant dans son sang...
Imagines-le à bout de force, appeuré
Face à l'atrocité de tous ces braconniers.
Toi! Meurtrière!
Penses-tu qu'il y a de quoi être fière?
Egoïste tu es, sans aucune pitié,
Tu n'es préoccupée que par ta beauté...
Sachez que beaucoup d'espèces sont en voie d'extinction
Et cela, à cause d'un manque de compréhension.
En tout cas, ce qui est sûr
C'est que tous ces animaux sont un don de la nature...
Un don de la nature que vous ne cessez de détruire
Pour continuer inlassablement à vous enrichir!
Espérons que le monde change avant qu'il ne soit trop tard,
Avant que, pour toutes ces pauvres bêtes, il n'y ait plus aucun espoir...

par **Admin** Jeu 20 Nov - 22:14:18

il est génial ce texte iguana ,c'est vraiment malheureux :tu me gonfle:

par **L'antre des reptiles** Jeu 20 Nov - 22:15:28

J'approuve totalement ton texte iguana ! merci ;)

par **iguana** Jeu 20 Nov - 22:16:37

:tu me gonfle: pauvre betes

par **L'antre des reptiles** Jeu 20 Nov - 22:18:02

Oui comme tu dit mais malheureusement c'est un fléau qui ne cessera jamais !

par **iguana** Jeu 20 Nov - 22:19:08

:GGGG: tuer les homme oui

par **L'antre des reptiles** Jeu 20 Nov - 22:20:46

Comment sa?

par **kailee31** Jeu 20 Nov - 22:28:45

très bien ce texte !

c'est malheureux ! c'est sûr !

par **iguana** Jeu 20 Nov - 22:34:38

ont devrais tuer c'eux qui font du mal aux autre

par **Admin** Jeu 20 Nov - 22:36:18

il n'y aurai plus grand monde sur terre :)

par **L'antre des reptiles** Jeu 20 Nov - 22:36:53

Sa c'est bien vrai! :)

par **iguana** Jeu 20 Nov - 22:38:14

ça c'est rien .. ont tue les mechants , et ont crée des gentils :lol!:

par **Admin** Jeu 20 Nov - 22:39:25

oula tu regarde trop la téle et le clonage humain est interdit :lol!:

par **L'antre des reptiles** Jeu 20 Nov - 22:51:13

entre réel et iréel

Si par l’irréel, on est fasciné
La réalité, de loin le dépasse
Parce que folie, nous, parait la vérité
On perverti tout ce qui se passe
De galéjades, nos cœurs sont réconfortés
Loin de la lumière, dans leur impasse
Tout ce qu’on l’entame, est stoppé
Et tout homme de valeur trépasse

Le jour où ce qui existe avait pris naissance
La vérité côtoyait déjà ses contrées
Effrayés par cette complaisance
Les gens gardèrent leurs yeux détournés
Vers autre chose allait leur espérance
C’est avant sa venue, qu’elle fut nommée
Amulette qui tient en otage leur impatience
C’est dans sa chimère que leur fiel fut noyé

Quand ce qui n’existait pas encore, arriva
C’est par nous que sa voie fut tracée
Sur son avènement personne ne misa
A l’improviste , sur nous, il s’est déversé
Chacun dans son coin demeura pantois
Ce qui se détermine, nul ne l’a pigé
Voilà que de partout se déchaîne l’effroi
Et de drames notre quotidien fut teinté

Sans aucune maîtrise sur le réel
Nous sommes éblouis par l’effet des mirages
Quand a ce qui se trouve dans le ciel
Notre savoir, est loin d’atteindre ses rivages
Ce que l’on foule devient fiel
Notre science en fait un outrage
Le vent par nos mains cueilli, la veille
Nous légua le néant en héritage

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