Re: fait divers

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et voila

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Deux hommes arrêtés pour avoir jeté un alligator dans un lac


Par le webmaster, 2005-08-26.



Un alligator élevé en captivité est jeté dans la nature et depuis il court toujours.
Deux hommes ont été arrêtés pour avoir jeté un alligator dans un lac des environs de Los Angeles, où le reptile, de la taille d'un homme, échappe depuis deux semaines à la traque des autorités, annonce la police.
Anthony Brewer, 36 ans, a été placé en prison après avoir été interpellé chez lui, à San Pedro, dans la banlieue de Los Angeles, où la police dit avoir trouvé des restes d'un habitat improvisé d'alligator, deux tortues hargneuses (Chelydra serpentina) et de la drogue.
Les preuves trouvées sur place ont conduit les policiers à la maison voisine de Todd Natow, 42 ans, qui a également été arrêté. Un porte-parole de la police de Los Angeles a expliqué qu'ils ont découvert chez Natow trois alligators, quatre piranhas, des tortues du désert, six oeufs de tortues, un serpent à sonnettes, un scorpion et de la marijuana.
Les enquêteurs pensent que Brewer possédait l'alligator et l'a donné à Natow, qui l'a jeté il y a environ deux mois dans le lac Machado, à Harbor City, dans la banlieue de Los Angeles.
Le reptile a été signalé aux autorités il y a environ deux semaines et a depuis lors échappé aux recherches de rangers et de spécialistes de la capture d'alligators venus d'autres Etats.
La créature réticente a entre-temps gagné l'affection de certains habitants du coin, qui se réunissent autour du lac de 21 hectares, dans l'attente de voir le reptile faire surface dans les eaux saumâtres.
D'autres personnes ont vendu des tee-shirts avec un dessin d'alligator et la phrase: "Harbor City, vous ne m'attraperez jamais".

[christophe.c]

Drôle de croco


Par le webmaster, 2005-08-26.



Des crocodiles ont profité des catastrophiques inondations en Chine pour s'échapper de leur ferme. Treize d'entre eux sont toujours en cavale.
Voilà un moment que ces crocodiles préparaient leur évasion. Les inondations incessantes, et surtout les pires des dix dernières années dans la province chinoise du Liaoning, étaient l'occasion idéale pour ces reptiles de prendre le large. Leur fuite est plus précisément due à une erreur dans le remplissage d'un réservoir voisin qui a débordé sur la ferme en bordure de la rivière.
Alors que les recherches se poursuivent autour de la Ferme aux crocodiles de Shuidong pour retrouver les treize évadés, les autorités ont demandé aux habitants des environs de ne pas se baigner dans la rivière Taizi dans laquelle les reptiles ont plongé. Inutile de prendre le risque de se retrouver avec une jambe ou un bras en moins pour une simple envie de baignade.
Les employés n'ont eu que le temps de rattraper cinq crocodiles sur les 34 qui y vivent. Seize ont été retrouvés plus tard mais treize manquaient toujours à l'appel mardi soir.

[christophe.c]

<table cellSpacing=0 cellPadding=0 border=0 sizset="67" sizcache="8"><tr sizset="67" sizcache="8"><td width="100%">Saisies de reptiles : les commerçants déposent plainte</TD> <td style="PADDING-BOTTOM: 3px" vAlign=bottom sizset="67" sizcache="8"></TD></TR></TABLE>

Suite à une saisie dans leur animalerie, les commerçants déposent plainte contre l'expert du parquet et la police. Enquête. Raphaëlle GILLES Le récit d'une journée noire pour les commerçants Il y a une dizaine de jours maintenant, nous avons été interpellés par un couple de Soumagne, Chantal Ligot et Philippe Smits, gérants de « L'Imperator », un magasin de NAC (nouveaux animaux de compagnie), doublé d'un RCC (« Reptiles'care center », soit un centre de soins conventionné) et d'un RIS (« Reptiles'interventions services », soit un refuge). D'après eux, ils auraient été victimes d'une saisie musclée et illégale. Une saisie effectuée par deux agents de la police de Soumagne et par l'expert en NAC du parquet, Tony Lo Bianco. Si bien que maintenant, ils ont entamé plusieurs actions en justice afin de faire valoir leurs droits. Nous avons tenté de comprendre les arguments des propriétaires et les raisons invoquées par les représentants de la justice. 1. L'objet de la saisie. La saisie (dont le récit est relaté ci-dessous), résulte du fait que les propriétaires du magasin ne possédaient pas de permis d'environnement de classe 2. Un document certifié par la Région wallonne et qui doit être demandé aux guichets communaux. Un formulaire obligatoire pour la détention de NAC dans un magasin spécialisé. Administrativement parlant, le patron de magasin doit également être en possession d'un agrément, au départ provisoire, obtenu au SPF (service public fédéral) de la santé publique, de la sécurité de la chaîne alimentaire et de l'environnement. Dans le cas d'une personne qui voudrait ouvrir un commerce de reptiles et autres animaux exotiques, il est impératif de posséder ces deux documents. « L'Imperator » n'était donc pas en ordre : il était agréé mais pas détenteur du permis d'environnement. La commune de Soumagne confirme en effet que le couple de patrons n'avait jamais introduit de demande de permis pour le commerce. La descente de police était donc fondée. Mais c'est sur la manière que les Soumagnards s'interrogent. 2. Une saisie non conforme ? Pour le couple de gérants, « l'intrusion au magasin n'était pas légale ». Il en résultera finalement la saisie d'animaux. Une situation contre laquelle les commerçants se révoltent, n'hésitant pas à porter plainte à la police et au comité P contre Tony Lo Bianco et contre les deux policiers. D'après Philippe Smits et sa compagne, les policiers ont en effet fait pression sur eux, prétextant détenir un mandat de perquisition émanant du juge d'instruction alors qu'il s'agissait d'un « droit de visite domiciliaire consentie ». Le couple reproche également à Tony Lo Bianco « d'avoir outrepassé sa qualité d'expert, fouillant tout le bâtiment et allant même jusqu'à fouiller dans le dossier médical de ma compagne ». Ils remettent aussi en cause l'attitude de Tony Lo Bianco : « Il veut le monopole de l'activité des reptiles sur la province de Liège et il pense qu'on lui fait de l'ombre, voilà pourquoi il nous a démolis. » Lors de sa déposition au comité P mardi dernier, Philippe Smits conclura d'ailleurs être au coeur « d'un complot pour torpiller nos activités. »

[christophe.c]

Les douaniers de Bordeaux ont saisi le 19 août dernier vingt tortues «grecques» vivantes, une espèce protégée car menacée d'extinction, dans une fourgonnette en provenance du Maroc, ont annoncé lundi les douanes. Les reptiles de type «Testudo graeca graeca» étaient transportées dans des caisses en carton ajourées.



Elles ont été confiées à un vétérinaire girondin «dans l'attente de leur réintroduction en milieu naturel ou dans une réserve animale», a-t-on précisé de même source. «Pour une raison inconnue, toutes les tortues étaient entièrement couvertes d'hydrocarbures», selon le communiqué des douanes.

Contrôlé sur la RN 10 par des agents de la brigade de surveillance extérieure de Bordeaux, le propriétaire de la fourgonnette a dû s'acquitter d'une amende de plusieurs centaines d'euros. Il a affirmé vouloir offrir les animaux «à différents membres de sa famille».

Les tortues «grecques» sont inscrites à l'annexe II de la Convention de Washington, relative à la protection des espèces de faune et de flore menacées d'extinction, rappelle la Direction générale des douanes et droits indirects.En 2008, la douane française a procédé à la saisie de près de 690 animaux vivants, dont 439 tortues.

[Invité]

Les "membres de sa famille" on les retrouve sur le bon coin, et ils peuvent en avoir une moyennant une centaine d'euros. C'est un trafic énorme pour des tortues qui ne survivent généralement pas au stress et qui ne sont pas acclimatées. Le mec aurait dû se prendre une amende de plusieurs milliers d'euros, ça l'aurait calmé une bonne fois et ça en aurait calmé plus d'un. Les sanctions ne sont pas assez fortes dans ce genres de cas.

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